Quand le psychanalyste est témoin d’un crime

Par Yaelle Sibony-Malpertu
Français

En séance, certains crimes sont révélés. Nous soulignons la difficulté que la pensée ne soit pas entravée par la fascination traumatique exercée par le crime et par la figure du criminel. Nous proposons certaines issues pour s’y soustraire, notamment par une certaine approche des thèses d’Hannah Arendt sur la « banalité du mal ». Enfin, nous donnons certaines précisions concernant l’écoute psychanalytique du réel traumatique, par rapport à celle des fantasmes, hors contexte criminel.

Mots-clés

  • Banalité du mal
  • Criminalité
  • Criminel
  • Fascination traumatique
  • Identification à l’agresseur
  • Perpetrator
  • Trauma psychique
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